Je m’appelle Cindy Barillet, et je suis artiste peintre depuis 2011.
Originaire du Vaucluse, je suis née le 5 décembre 1988. J’ai grandi dans un petit village du Luberon, dans une maison entourée de champs agricoles : Des vignes devant le jardin, des cerisiers derrière la maison. Et à côté, il y avait celle de mes grand-parents, agriculteurs tous les deux.
C’est dans ce milieu bucolique que mon amour de la nature s’est développé.
Mon parcours artistique
Je suis une artiste autodidacte. C’est vers le commerce que j’ai orienté mes études, et tout ce que je peux en dire, c’est que tout le monde peut se tromper !
La vie est trop courte pour s’ennuyer dans un domaine qui ne nous correspond pas. Alors malgré mon diplôle en poche, j’ai préféré proposer mes services de portraitiste animalier plutôt que de chargée de marketing.
C’est au pastel sec que j’ai démarré mon activité artistique. L’aquarelle a suivi, la peinture à l’huile, les crayons de couleurs… Ce n’est que bien plus tard que j’ai découvert la gouache. Mon regret est de ne pas l’avoir découverte plus tôt !
La gouache : Une liberté inégalée
Je n’aurais jamais pensé que j’allais autant apprécier les qualités de la gouache. Elle a tous les avantages de l’aquarelle pour le côté portable, diluable à l’eau et utilisable sur papier (idéal pour les carnets de croquis et les carnets de voyage !). Mais à la différence de celle-ci, elle est opaque. On peut peindre avec de la gouache très diluée pour la rendre transparente, mais on peut aussi peindre avec plus d’épaisseur pour un effet peinture à l’huile ou acrylique.
En d’autres termes, avec la gouache j’ai découvert une peinture idéale pour m’accompagner dans mes séances à l’atelier comme en extérieur, pour tous les styles, pour tous les sujets.
Depuis, la gouache fait partie de mes médiums préférés.
Ma philosophie artistique
Lorsque je peins, j’ai la sensation de m’approprier pleinement mon sujet. D’en profiter un maximum. Si je peins un paysage, je suis dans cet endroit. Si je peins un animal, je suis avec lui. Si je peins une fleur, je la garde épanouie pour toujours.
Si j’ai décidé d’enseigner la peinture, c’est en partie parce que j’adore partager mes connaissances, et en partie parce que je veux permettre à plus de personnes de connaître ce bien-être. Trop souvent les gens se découragent en pensant qu’ils n’ont pas de don alors qu’ils n’ont simplement pas de méthode à appliquer.
Personne ne s’attend à savoir jouer du piano dès sa première séance et sans professeur. Cependant, pour une étrange raison, la plupart des gens pensent que s’ils ne savent pas peindre de façon innée alors ils ne pourront jamais. N’est-ce pas illogique ?
Cindy Barillet : Qui suis-je ?
Quand je ne travaille pas, je suis probablement dans mon jardin – ou installée avec un livre devant ma porte-fenêtre, à garder un oeil distrait sur mes trois poules Iris, Tulipe et Coquelicot.
Ma vie est partagée entre mon activité d’artiste-peintre et ma passion pour le monde qui m’entoure. J’ai besoin d’être en contact avec le plus de nature possible, et c’est la raison pour laquelle j’accorde une grande place à mon jardin et à mes plantes. Je fais mon potager, je fais pousser mes fleurs (qui me servent immanquablement de modèles), je cultive quelques plantes exotiques et je parcours la campagne à la recherche d’orchidées ou de goganes pour le simple plaisir de les croiser.
Je vis en couple depuis 2010 avec mon mari Thomas, qui était plutôt citadin mais qui est devenu aussi amoureux de la nature que moi. Ensemble, nous vous préparons des formations de peinture. Je conçois et filme, Thomas fait le cobaye et suis la formation en avant première.
En plus de nos poules, nous avons un chat (Dexter) et un chien (Sherlock). Tous les deux ont été adoptés en refuge.
Actuellement en Anjou, nous prévoyons de rester dans la région, mais nous aimerions déménager pour être encore plus en campagne – et avoir plus de terrain cultivable.